Il y a quelques mois, le groupe Le Manque m’a proposé d’écrire une chanson qu’il mettrait en musique. Avec pour contrainte, ce titre : « Ce qu’il reste à détruire ». J’ai accepté avec plaisir, en leur imposant à mon tour une contrainte : que le refrain, écrit en anglais, soit chanté par une anglophone. Et voici le résultat…
Le 6 mars dernier je m’entretenais avec Éric Dussert et Élodie Karaki dans le cadre des « Enjeux contemporains » de la M.é.l ; nous avons parlé de la littérature qui existe et qui n’existe pas ; de l’écriture et de la lecture au temps du confinement ; d’énergétique des machines et des formes poétiques ; d’arbres qui cachent la forêt et de déforestation.