Les promenades photopoétiques commencées l’année dernière avec l’ami Jean-François Devillers continuent (vous pouvez lire en ligne le petit e-book qui contient les seize premières paires de textes et photos en cliquant ici), comme une exploration de Shanghai à quatre pieds et quatre mains – appareil photo, carnet, stylo. Une rue étant donnée, les images et les textes se répondent, se croisent, s’évitent et se commentent. Comme les nuages loin, la fumée qui s’échappe de cette dialectique pleine de trous semble avoir une sorte de sens, des rues.